• Blog en réfection

     

    Mon blog est en réfection pour la présentation. Comme je suis vraiment peu douée, ça risque de prendre un peu de temps et il va y avoir pas mal de tâtonnements. Pour le moment, c'est donc du provisoire et c'est un peu le chantier !  

    Merci au très aimable blogueur qui me prodigue ses conseils avisés.

     

    En attendant, une petite idée de recette ultra-facile, rapide et bien de saison :

     

     

    QUICHE À LA TOMATE

     

     

     

    Ingrédients :

     

    — 2 oignons

    — 5 ou 6 belles tomates

    — 2 œufs

    — huile d'olive

    — sel, poivre

    — Une pâte brisée (je la fais évidemment moi-même, pas question d'acheter celles du commerce qui sont sous plastique et se conservent étonnamment longtemps. Même si je reconnais que les pâtes à tarte sans gluten sont les seules préparations qui me posent problème : elles restent assez friables. Il va falloir que je me penche plus sérieusement sur cette question).

     

    Réalisation :

     

    Il est préférable de commencer deux à trois heures avant le repas. Car effectivement la recette elle-même est rapide, mais pour faire mijoter, cela prend pas mal de temps.

     

    — Inciser la peau des tomates, et les mettre 5 minutes dans de l'eau bouillante pour que la peau se détache facilement. Peler les tomates.

    — Émincer finement les oignons. Dans une casserole, les faire fondre à feu doux dans de l'huile d'olive.

    — Rajouter les tomates coupées en morceaux. Saler, poivrer.

    — Laisser mijoter (c'est donc cette étape qui est longue, car il faut que l'eau des tomates soit bien évaporée).

    — Préchauffer le four thermostat 7 (200°).

    — Quand le mélange oignons - tomates est prêt, battre deux œufs, et les incorporer à la préparation hors du feu.

    — Étaler la pâte brisée dans un moule à tarte et la piquer à la fourchette. La garnir avec l'ensemble tomates, oignons, œufs.

    (Éventuellement, saupoudrer de fromage râpé.)

    — Enfourner pendant 25 minutes, plus dix minutes four éteint.

     

    C'était notre dîner d'hier soir et ce sera notre déjeuner ce midi : avec du melon en entrée, et mon habituel et délicieux pain perdu en dessert. Un repas léger, complet, et comme toujours, on s'est régalés ! 

     

     

     

     

     


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    Voici une recette que j'avais un peu oubliée dans mes cartons, et que je me suis remise à faire assez souvent cet été. En effet, c'est la saison où nous recevons le plus car les soirées sur la terrasse sont bien agréables.

    Souvent, pour être certaine que tout le monde aime, j'offre en dessert des glaces. En général, ça fait l'unanimité quand il fait bien chaud. 

    Mais pas question d'accompagner glaces et sorbets de langues de chat (par exemple) du commerce, quand bien même ce serait bio et sans huile de palme. À la place, je prépare fréquemment de petits biscuits aux amandes, sans gluten et sans lactose, qui conviennent parfaitement.

    Ils sont bien aussi pour terminer un pique-nique, pour le thé, ou alors tout bêtement pour un dessert rapide à la maison. Car c'est une recette en effet vraiment très rapide.

    Je l'avais "piquée" sur un blog spécialisé dans le sans gluten et sans lactose, mais je serais bien en peine aujourd'hui de retrouver lequel. D'habitude, je modifie les recettes, mais cette fois, il n'y avait vraiment rien à changer. 

     

    Ingrédients :

     

    — 50 grammes de farine de riz

    — 30 grammes de farine de teff (celle-ci n'est pas très courante. J'en ai personnellement, mais on peut tout à fait utiliser seulement de la farine de riz, ou remplacer celle de teff par de la farine de sarrasin, par exemple).

    — 70 grammes d'amandes en poudre (je préfère pour ma part, comme je l'ai déjà écrit quelque part, mixer moi-même les amandes au dernier moment. Il me semble que la poudre d'amandes du commerce a moins de goût, peut-être parce qu'elle s'évente vite).

    — 80 grammes de sucre de canne

    — 1 œuf

    — 55 grammes de purée d'amande

    — 1/2 sachet de levure

     

    Réalisation : 

     

    — Préchauffer le four à 175°.

    — Mélanger dans un saladier la farine, la poudre d'amande, le sucre et la levure.

    — Casser dessus l'œuf et mélanger.

    — Rajouter la purée d'amande fluidifiée avec un peu d'eau froide.

    — Confectionner de petites boules (il vaut mieux les faire vraiment assez petites, sinon les biscuits s'étalent à la cuisson et deviennent des galettes. Et si on veut arriver facilement à les façonner, se passer les mains sous l'eau régulièrement, sinon la préparation colle aux doigts. Espacer également les boules pour ne pas se retrouver avec des biscuits agglomérés les uns aux autres, quitte à faire cuire en deux fois).

    — Disposer sur une plaque.

    — Mettre au four pendant 12 minutes (vérifier quand même, parfois il faut deux ou trois minutes de plus).

     

    On peut faire la même recette avec de la noix de coco râpée. Mais celle-ci occupant pas mal de volume et étant déjà très sucrée, 60 grammes suffisent. Et dans ce cas, il est possible de mettre moins de purée d'amande et de compléter par de l'huile de coco, ou carrément n'utiliser que de l'huile de coco (environ 70 ml dans ce cas).

     

     Et apparemment, ça doit plaire même si les invités sont souvent un peu dubitatifs au départ quand on leur annonce "sans gluten et sans lactose". Mais j'ai remarqué que quand ils partent, à ma grande déception, il en reste rarement !

     

     

     


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    Et encore, quand j’écris que je n’aime pas, c’est très en dessous de la vérité. En réalité, je déteste, j’exècre, j’abhorre, je hais (et tous les synonymes exprimant cette idée).

     

    Si quelqu’un n’a jamais entendu parler de « Comme j’aime », c’est a minima qu’il n’a pas la télévision. Un peu plus sûrement, c’est qu'il vit sur Mars, voire sur une exoplanète. Car ne pas connaître avec le battage de leur pub, c’est impossible.

    « Comme j’aime », c’est ce programme qui soi-disant permet à tout un chacun de se débarrasser « définitivement » de ses problèmes de poids. On nous présente de charmantes femmes anciennement obèses devenues des sylphides, photos avant/après à l’appui. Un peu plus récemment, sont apparus aussi des hommes, ou des célébrités ayant retrouvé « sans effort » leur ligne, ou bien enfin une diététicienne travaillant pour la méthode, mince, jolie, radieuse… On a envie de s’abonner rien que pour lui faire plaisir, tant elle est à… croquer !

    Et pourtant, je déteste « Comme j’aime ».

    D’abord justement pour leur pub agressive, qui est tout ce que je honnis dans notre société de (sur) consommation. Quand je regarde un film et à plus fort raison si c’est un bon film, je n’ai pas envie de voir une nunuche venir me raconter à quel point elle s’est régalée avec les délicieuses recettes de « Comme j’aime », combien sa vie a changé depuis qu’elle mange ainsi (je suppose que son mari, qui l’avait plaquée du fait de ses bourrelets, est revenu, ébloui par cette sublime créature !), ni deux minutes après un homme m’expliquer cette fois qu’il avait de très mauvaises habitudes alimentaires, mais que désormais, tout va parfaitement bien pour lui et qu’il nage dans le bonheur, que toutes les femmes sont à ses pieds...

    Je conçois tout à fait que les chaînes privées de télé vivent de la pub, mais là, trop c’est trop. En général d’ailleurs, mon cerveau n’enregistre pas ce qui se dit pendant les coupures publicitaires, mais dans ce cas précis, impossible, ce qui m'horripile, de passer à côté (même si à chaque fois, mon mari se jette sur la télécommande pour couper le son tout en vociférant des insultes). 

     

    Seconde raison pour laquelle je déteste « Comme j’aime » : leurs bons petits plats tout prêts.

    Si j’ai bien compris, les repas sont livrés pour un mois (parce que oui, je suis bien obligée d’avoir retenu quelque chose de cette satanée pub). Repas dont on nous dit qu’ils se réchauffent en deux minutes au micro-ondes. Donc sous emballage plastique, ce qui est déjà un mauvais point. Et ils se conservent un mois de quelle manière ? Je n’ose même pas imaginer le nombre d’additifs, de conservateurs et de colorants qui sont utilisés. La malbouffe dans toute son horreur, sous couvert de petits plats « comme à la maison ». Certainement peu ou pas de nutriments, peu de goût, peu de saveur. Autant avaler tout de suite une ou deux cuillères de glyphosate (bon, j’exagère un peu, mais l’orthorexique que je suis est bien énervée).

     

    Troisième raison : le prix. Je ne sais plus si je l’ai entendu sur leur pub ou si on me l’a dit, mais « Comme j’aime » revient grosso modo à 12 euros par jour pour trois repas et une collation. Ce qui est présenté comme n’étant pas cher du tout.

    Pour un couple qui suivrait le programme, cela ferait 24 euros par jour. Soit environ 700 euros pour un mois !

    Alors là, je suis désolée, mais je trouve ça hors de prix, encore plus pour manger une alimentation de mauvaise qualité. Personnellement, en achetant tout ce qu’il faut pour cuisiner de vrais bons petits plats, je suis loin de dépenser 700 euros par mois pour deux personnes. Sans compter que le programme ne comprend QUE la nourriture. On nous dit qu’avec ça, plus de courses à faire : et les boissons, les produits ménagers, d’hygiène, tout ce qu’on est bien obligé d'acheter en plus de la nourriture au sens strict ?  

    Donc, on peut évaluer à vue de nez le budget courses d’un ménage qui ferait ce programme à 1000 euros par mois environ. C’est de la folie furieuse !

     

     

    Quatrième raison : je ne vois tout simplement pas comment ça pourrait marcher. Évidemment, quelqu’un mangeant exclusivement ce qu’on lui livre (gratuitement, ils sont bien gentils) maigrira forcément. Mettons que l’ensemble des plats représente 1200 calories par jour pour une femme. Si elle ne consomme absolument rien d’autre, elle perdra du poids. Comme dans tous les régimes. Mais qui pourrait se contenter de n’avaler jour après jour que des aliments pré-emballés ? Comment croire que la femme ne rajoutera pas un petit chocolat avec son café (café qui n’est pas compris dans le prix, je le rappelle), quelques biscuits, un morceau d’un bon fromage au lait cru ? Et comment croire aussi qu’on puisse se tenir à cette alimentation sur le long terme (hors toute considération financière) ?

    Ce type de programme est un leurre, c’est en plus une arnaque car il n’enseigne aucune autonomie sur le plan de la nourriture.

    Si on désire faire attention à son poids, il me semble que la seule solution est de manger de tout ce qui fait envie, dans les quantités correspondant à ses dépenses énergétiques. Et cuisiner soi-même les aliments frais qu’on achète, c’est quand même mieux qu’ouvrir une barquette. Que fait « Comme j’aime » de la satisfaction de réaliser soi-même ses mets, de sentir leur odeur se répandre dans la cuisine pendant qu’ils cuisent, et de manger au bout du compte quelque chose qu’on s’est donné la peine de préparer ?

     

    Les programmes façon « Comme j’aime » ne sont qu’une façon malhonnête de faire croire aux femmes (principalement) qu’elles retrouveront la ligne en confiant le souci de leur alimentation à d’autres. En filigrane, on entend aussi un discours racontant que dans la vie, il y a mille choses plus intéressantes à faire que cuisiner. Une femme (pas plus qu’un homme) ne se réduit évidemment pas aux tâches ménagères. Mais pour les hommes et les femmes, manger est un acte essentiel de la vie, et ça doit être un plaisir. Et ce plaisir, pour ma part, je ne le remets entre les mains d’étrangers. C’est une manière ni plus ni moins que de déresponsabiliser les individus en leur disant ce qu’ils doivent manger, à quelle heure et en quelles quantités.

     

    Alors non, je n’aime pas « Comme j’aime ». C’est une vaste fumisterie, et à défaut de faire maigrir, cela engraisse financièrement les géniaux initiateurs de cette méthode. Parce que oui, il y a un certain génie à faire payer si cher des moyens de maigrir dont tout le monde dispose en réalité pour peu d’argent et bien plus de satisfaction alimentaire.

    (Malheureusement, je suis bien consciente qu’au prix de la pub sur les chaînes de télé, ça doit marcher. Du moins pour les concepteurs, pas pour perdre du poids. Je n’ose imaginer le nombre de personnes qui achètent ce programme totalement contre-nature.)

      

     

     

     


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    Une des expressions qui revient le plus souvent dans ma bouche est : « Je suis à la bourre aujourd’hui ». Et « aujourd’hui » se produit quasiment tous les jours.

    Rien de très original à cela, je suppose que je suis comme toutes les femmes… Travailler, faire le ménage, les lessives, le repassage, les courses, ça prend du temps.

    Mais pas question pour autant de ne pas se mitonner un bon petit plat ou de ne pas préparer un dessert maison. En route donc pour le Net ! Parmi mes mots-clés favoris, il y a « recette rapide ». Et ça marche !

    J’ai donc découvert assez récemment une recette de biscuit au chocolat qui est une des préparations les plus rapides et les plus simples que je connaisse. J'ai juste un peu adapté les ingrédients pour que ce soit sans gluten et sans lactose. 

     

    Ingrédients :

     

    — 200 grammes de chocolat noir

    — 3 gros œufs

    — 120 grammes de sucre de canne

    — 60 grammes de farine de riz

    — ½ sachet de levure

    — Facultatif : un peu de crème d’amande (5 centilitres environ)

     

    Préparation :

     

    — Préchauffer le four à 180° (thermostat 6).

    — Faire fondre à feu doux dans une casserole le chocolat coupé en morceaux avec un peu d’eau. Laisser tiédir. Incorporer éventuellement la crème d’amande.

    — Dans un saladier, fouetter les œufs et le sucre.

    — Ajouter la farine et la levure (de préférence tamisées).

    — Incorporer en dernier le chocolat fondu dans la préparation et mélanger soigneusement.

    (Il m’arrive, quand j’en ai sous la main, de mettre quelques fruits rouges comme par exemple des framboises. Je pense que cela doit être bon aussi avec des pépites de chocolat.)

    — Verser le tout dans un moule préalablement huilé.

    — Enfourner 20 à 25 minutes (vérifier avec la pointe d’un couteau au bout de 20 minutes, attention, la cuisson est rapide).

     

    Le résultat est un biscuit très moelleux, dont le dessus forme une croûte de chocolat.

     

    Alors recette ultra-simple et rapide, certes, mais vraiment incontournable pour les cuisinières pressées !

     

    Je précise que la photo, tout à fait représentative de mon gâteau, a été piquée sur internet. Pour la simple et bonne raison que... j'étais à la bourre !!!

     

     

     

     

     

     


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    En fait, le titre exact de cet article devrait être « Je me fais avoir », ou « Je me suis fait avoir »… Mais comme je ne dois pas être la seule, je me permets de faire de mon exemple une généralité. Et de plus, comme je suis un peu vexée de ma naïveté, me dire que d’autres que moi sont sans doute bernés me rassure…

    J’achète de manière générale peu de produits transformés, mais je m’y trouve parfois obligée. De ce fait, je suis particulièrement vigilante sur les étiquettes, et dans les magasins, je lis les compositions avec des lunettes (c’est écrit en tout petit, forcément… Y aurait-il une intention malhonnête derrière ces caractères minuscules ? Je n’ose le croire…)

     

    Pour en arriver à mon sujet, je l’ai déjà dit, nous adorons le miel, même si nous en mangeons somme toute assez peu. Presque exclusivement, c’est pour arroser le pain perdu quand j’en fais en dessert, donc pas toutes les cinq minutes malgré tout.

    Mais j’en achète.

    Sauf que je n’apprécie pas plus que ça ceux que l’on trouve facilement par chez nous : le miel toutes fleurs ou de montagne est assez fade selon moi. Je sais que certains ne jurent que par le miel de lavande, mais ce n’est pas notre cas.

    Non, notre préféré et de loin, celui qui a un vrai goût, c’est le miel de maquis corse. En règle générale, lors de nos séjours dans l’île de Beauté, j’en ramène deux ou trois pots, ce qui nous suffit. Mais lors de notre dernier voyage, nous avons fait chou blanc auprès du petit récoltant chez qui nous nous fournissons. Là-bas aussi les conditions météo ont été mauvaises avec beaucoup de pluie, donc le miel de printemps avait pris du retard et il ne restait plus de miel d’automne.

    Du coup, j’ai cherché par ici. À défaut de miel de maquis, celui que nous préférons est le miel de châtaignier, éventuellement de sapin (il me semble avoir trouvé il y a longtemps du miel de bruyère, mais je ne suis pas sûre, et de toute manière, je ne sais plus où).

    Donc, me voici en quête de miel de châtaignier.

    Munie de mes lunettes, je me rends dans un magasin. Je fouine au rayon approprié et ô miracle, je crois tomber sur ce que je cherche. Un miel donc de châtaigner, avec le label bio. Je regarde de plus près : le nom du producteur est indiqué, mais aussi son lieu d’origine. Et là, super ! il s’agit d’un petit village à trente ou quarante kilomètres de chez nous.

    Donc tout va bien : ce n’est pas du miel de maquis, ni d’un récoltant que je connais personnellement, mais c’est ce qui se rapproche le plus de ce que je désirais.

    Je rentre donc chez moi satisfaite de mon achat.

    Un jour ou deux après, je prépare mon pain perdu, et là, c’est mon mari qui chausse ses lunettes. Il examine lui aussi l’étiquette (c’est moi qui lui ai donné cette manie). Et là, surprise !

    En encore plus petits caractères que le reste, noyé dans d’autres informations et difficilement lisible au milieu de la photo décorant le pot, il déchiffre :

    MÉLANGE DE MIELS ORIGINAIRES DE L’UE !!!

    Là, c’est la douche froide. Je vérifie, mais non, il ne s’est pas trompé. Mon miel est certes de châtaigner, il est certes bio, il est certes estampillé de ce petit village proche de chez nous (je suppose que c’est là qu’il a été mis en pot)… mais les miels, d’où viennent-ils ?

    Bien évidemment, je l’ignore. La réglementation n’oblige pas à indiquer la (ou les) provenance(s). Mon bon miel bio local vient-il de Pologne ? D’Allemagne ? D’Italie ? Une partie vient-elle quand même de France ?

    Impossible à savoir.

    Bref, je pensais avoir été prudente, et je l’ai été. Mais pas assez, de toute évidence.

     

    Alors, deux remarques :

    — D’une part, même quand on est vigilant comme je crois l’être, il est très facile de se faire avoir. Ce n’est pas avec des lunettes qu’il faut faire ses courses, mais avec une loupe. Et ce n’est pas une heure qu’il faut passer dans les magasins, mais au moins deux.

    — D’autre part, même dans le bio, la malhonnêteté est partout. Parce qu’on ne me dira pas que mettre en gros (enfin, aussi gros que cela peut l’être sur les étiquettes) le logo « AB » et les noms du récoltant et du village, et en minuscule ce qui m’aurait fait reposer le pot, ce n’est pas induire volontairement les clients en erreur.

     

    Conclusion ? Cet incident va me rendre encore plus vigilante, et en même temps, plus modeste aussi. Moi qui croyais à peu près tout bien faire, je suis comme les autres… je fais « au mieux ». Ce n’est déjà pas si mal, mais c’est loin d’être suffisant.

     

     

     


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