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    Comme je l'ai écrit précédemment, le RHU du laboratoire LÉRO est indéniablement un produit qui marche, je l'ai vu dans mon entourage. 

    À titre personnel, je crois que c'est sa forte concentration en omégas-3 qui fait son efficacité. Notre alimentation moderne ne nous fournit en effet plus assez d'omégas-3 que l'on trouve dans les petits poissons des mers froides (harengs, sardines, maquereaux...) et dans certaines huiles comme celle de colza. Or, l'industrie agro-alimentaire a tout misé sur les omégas-6 (huile de tournesol, d'olive...) qui sont moins nécessaires, voire néfastes si on en consomme trop.

    Cela étant, il me semble qu'en cas de douleurs chroniques comme le mal de dos, il y a d'autres mesures à adopter. 

     

    — Supprimer (ou du moins limiter autant que faire se peut) les produits laitiers d'origine animale.

     

    Les produits laitiers d'origine animale, et notamment le lait de vache, sont mauvais pour la santé. C'est normal. Nous sommes les seuls mammifères sur Terre à continuer à consommer du lait d'une autre espèce passé l'âge du sevrage. J'ai déjà largement évoqué cette question dans d'autres articles.

    Si le lait n'est pas bon pour les autres mammifères, on ne voit pas pourquoi il y aurait une exception pour nous, humains. Les chats, pour ne citer qu'eux, adorent le lait ou la crème, mais ceux-ci les rendent malades. 

    C'est normal, l'élevage n'a "que" 10 000 ans environ. Nos organismes ne sont pas adaptés pour digérer le lait. Ce n'est pas pour rien que 70% environ de la population mondiale est intolérante au lait et aux produits laitiers, même si la plupart des gens ne le savent pas. Indépendamment d'une allergie avérée au lactose par exemple, ou à la caséine (une des protéines du lait de vache), il vaut mieux ne pas en consommer. 

    Mon homéopathe, qui n'a rien d'un intégriste, me disait que si on ne souffre d'aucune pathologie chronique ou inflammatoire, on peut consommer un peu de lait (ou ses dérivés). Mais un peu seulement. Et de préférence dans ce cas du lait de brebis ou de chèvre, qui contient certes aussi du lactose, mais pas de caséine. Sinon, les produits laitiers d'origine animale ont des effets inflammatoires, tous les médecins sérieux le savent.

    Donc, en cas de douleurs articulaires, il faut essayer de supprimer en priorité les produits laitiers, et au moins tout ce qui est à base de lait de vache. 

    Pour ceux qui craindraient de manquer de calcium, il faut savoir que des quantités d'aliments en contiennent : poissons, fruits de mer, tofu, légumes crucifères (toutes les variétés de choux, épinards, cresson...), légumes secs comme les pois cassés, algues, chocolat, et fruits secs (notamment les amandes. c'est pourquoi il est bon de cuisiner au lait d'amande, d'autant que c'est délicieux).

    Et pour ceux qui ne seraient toujours pas convaincus, il ne faut pas oublier que l'élevage est une catastrophe pour la planète, bien plus que tout le transport mondial réuni, et que limiter sa consommation de produits laitiers est donc une bonne chose pour l'avenir de la Terre (diminuer sa consommation de viande aussi, bien sûr, mais nous nous éloignons du propos).

     

    — Prendre de la vitamine D3.

     

    Nous manquons quasiment tous de vitamine D3, qui est indispensable pour fixer le calcium sur les os. Car avaler du calcium pour conserver des os en bon état ne sert à rien si celui-ci n'est pas fixé par l'organisme. Pire, dans certains cas, au lieu de se fixer sur les os, il va aller se mettre sur les parois des artères, entraînant leur calcification et tous les problèmes qui en résultent.

    Nous manquons de vitamine D3 car elle est synthétisée par le soleil. Or au-delà d'une ligne qui en gros passe par Rome, il n'y a pas assez d'ensoleillement pour permettre la bonne absorption de la D3. Il faut donc en prendre en complément alimentaire.

    C'est sous forme huileuse qu'elle est la mieux tolérée et assimilée par l'organisme. On trouve de petits flacons de vitamine D3 sous cette forme huileuse dans les magasins bios, pour environ 20 euros et le flacon dure près d'un an, à raison d'une goutte (ou deux maximum) par jour. Inutile donc de s'en priver !

     

     

    Bien sûr, tout ça a l'air un peu compliqué. Plus compliqué peut-être que d'avaler des anti-inflammatoires. Mais quand on sait les dégâts que provoquent ces derniers (notamment sur l'estomac), mieux vaut s'en passer. D'autant que les anti-inflammatoires se contentent de masquer la douleur, mais n'améliorent pas la situation. 

    En absorbant des omégas-3 (notamment dans le RHU où ils sont combinés avec d'autres nutriments), de la vitamine D3, en limitant les apports en produits laitiers animaux, là, on traite le mal à la racine, et on peut espérer diminuer durablement son mal de dos ou ses douleurs articulaires...

     

     

     


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    Pour les ami(e)s de Dom

     

     

    Dom ayant indiqué sur son blog un "médoc" que je lui ai en effet conseillé il y a quelque temps contre ses douleurs, et qui lui a fait beaucoup de bien, ce dont je suis très heureuse, je donne ici quelques précisions car j'ai vu que plusieurs personnes ont demandé le nom de ce produit-miracle soit chez elle, soit chez moi par mail.

    En réalité, il ne s'agit pas d'un médicament homéopathique, mais d'un complément alimentaire

    Il est à base notamment de zinc, manganèse, mais aussi d'omégas-3 qui sont bons pour tout : articulations, cœur, cerveau.

     

    Il s'agit donc du produit dont j'ai mis la photo, le RHU du laboratoire "LÉRO" qui propose d'autres compléments alimentaires (mais je ne connais que celui-ci).

     

    Quand on souffre vraiment, le mieux est de commencer par deux gélules par jour, puis dès qu'on voit une amélioration, on passe à une seule gélule par jour, ce qui est la posologie normale. Par contre, il ne faut pas arrêter. 

    On trouve le "RHU" dans les pharmacies (je le trouve chez nous à environ 38 euros pour une boîte de 3 mois), mais il existe aussi sur internet pour moins cher (environ 10 euros par mois).

    Il marche pour toutes les douleurs articulaires, il a eu des effets spectaculaires sur mon mari, qui a annulé l'opération de la hanche (prothèse) qui était programmée tout simplement parce qu'il a cessé de souffrir. Des effets tout aussi spectaculaires donc sur Dom.

     

    Je précise que ce complément alimentaire m'avait été conseillé par un ami pharmacien, et non par un quelconque gourou ou par une pub. Cet ami l'utilise pour lui-même et l'avait déjà indiqué à plusieurs clients, tous satisfaits.

     

    Je précise également que je n'ai aucune action dans le laboratoire LÉRO... mais j'aimerais bien ! 

     

    J'ignore si j'ai le droit de mettre un tel article, mais s'il est interdit de faire ce genre de promotion, je suppose que je serai rappelée à l'ordre, et je supprimerai alors ce message.

     

    Si certains veulent davantage de précisions, n'hésitez pas à me demander. Et pour ceux qui essaieraient, je leur souhaite les mêmes bienfaits que pour mon mari ou Dom. 

     

    Bon dimanche ! 

     

     

     

     


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    Voilà bien longtemps que nous n'étions plus partis en vacances. C'est désormais chose faite, nous venons de passer près d'une semaine à parcourir la France (du moins en partie), et entre autres à visiter certaines régions de Massif Central, plus spécialement l'Ardèche et la Haute-Loire.

    Le soir, c'était hôtel et restaurant même si nous ne sommes pas particulièrement fans, mais c'était la solution la plus commode : quand on a beaucoup roulé dans la journée, on n'aspire plus qu'à se poser.

    Mais à midi, nous avions choisi de pique-niquer. Sauf que bien entendu, il n'était pas question de se contenter de sandwiches ou de pizzas achetés à la boulangerie du coin, encore moins de plats en barquettes plastique.

    Donc, la veille du départ, j'ai pas mal cuisiné, nous avons tout rangé dans un cabas "spécial pique-nique" que nous transportions partout avec nous. Et nous n'avons pas eu à nous en plaindre.

     

    J'ai d'abord fait deux cakes salés aux olives vertes, dont j'avais déjà mis la recette sur mon blog : 

    http://carnets-d-une-orthorexique.eklablog.com/les-recettes-de-l-orthorexique-cake-sale-aux-olives-vertes-sans-gluten-a138358946

     

    Et voici le résultat :

     

    Les pique-niques de l'orthorexique

      

    Les pique-niques de l'orthorexique

    Pour le dessert, j'avais choisi le banal gâteau au yaourt qui se conserve bien, mais réalisé avec moitié farine de châtaigne, moitié farine de sarrasin, et j'y avais incorporé des mûres cueillies le jour même dans notre chemin.

     

    Les pique-niques de l'orthorexique

     

    Et au cas où nous aurions risqué de mourir d'inanition, j'avais aussi confectionné quelques biscuits aux flocons d'avoine et raisins secs :

     

    Les pique-niques de l'orthorexique

     

     

    Le tout évidemment sans gluten et sans lactose... 

    Il ne restait plus qu'acheter chaque jour un melon, au gré de nos pérégrinations ; nous avons également fait l'emplette de petits fromages de brebis ou de chèvre locaux. 

    Et nos pique-niques ont été fameux. D'ailleurs, une petite photo de celui que nous avons pris dans un cadre magique, le lac d'Yssarlès en Ardèche, près du Mont Gerbier de Jonc. (Une plage de sable fin en plein cœur du Massif Central, je ne savais même pas que ça existait.)

     

    Les pique-niques de l'orthorexique

     

    Puis, nous reprenions la route pour dénicher une terrasse en plein soleil et déguster un bon café. 

    Le bonheur à l'état pur ! 

     

     

     

     

     


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    Hier, c'était donc l'anniversaire de mon mari, avec évidemment la question : que vais-je lui faire de bon à manger pour cette occasion quand même particulière ? 

    Pour le plat principal, pas de souci, je m'étais décidée pour une de ses recettes favorites : poireaux aux noix de Saint-Jacques à la crème, il adore, pas la peine d'aller chercher des complications puisque je savais ainsi lui faire plaisir.

    Mais pour le dessert, j'avais envie d'innover un peu. 

    En feuilletant de vieilles recettes, je suis tombée sur une "tarte de Saint-Pourçain" dont je n'avais jamais entendu parler, je n'avais jamais vu ça nulle part d'ailleurs, ni chez quelqu'un, ni au restaurant. La particularité était que c'était à base de raisin frais, et justement, j'en avais qu'on n'avait pas envie de manger tel quel, car il n'était pas extraordinaire. Mais après cuisson, ça devait aller.

    Problème : c'était bourré de gluten et de lactose. Qu'à cela ne tienne, j'ai tout modifié. La banale pâte brisée sucrée s'est transformée en une pâte avec un mix de farines sans gluten et de la poudre d'amande, et j'ai remplacé la crème fraîche de la garniture par un mélange de mon cru : tofu soyeux et crème d'amande. 

    Je reconnais quand même que j'étais un peu inquiète, je ne sais jamais trop à quoi m'attendre avec mes bidouillages culinaires personnels, même si les vraiment mauvaises surprises sont quand même rares. 

    Et au final, on a beaucoup aimé cette tarte malgré son côté non conventionnel. La voici en image :

     

    Le mari de l'orthorexique

     

    Alors ma foi, je n'étais pas mécontente du résultat, et cette journée d'anniversaire a été très réussie : grande balade sous un beau soleil plutôt chaud pour la saison, et comme le grand air nous avait creusés, le soir, nos papilles et nos estomacs ont d'autant mieux apprécié ce repas ! 

     

     

     

     


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    Les recettes de l'orthorexique : gratin d'aubergines au parmesan

     

    Notre repas de midi (et ce sera aussi celui de ce soir) a été un gratin d'aubergines. J'adore les aubergines, c'est la pleine saison, mais souvent dans les recettes, on les fait cuire dans l'huile, or ce sont de véritables éponges, et on se retrouve avec un plat très gras. Ici, l'avantage est qu'elles cuisent dans la tomate, ce qui les rend beaucoup plus digestes.

     

    Ingrédients :

     

    — 2 ou 3 aubergines (compter une par personne si elles sont moyennes. J'en avais trouvé de petites et j'en ai mis 5).

    — 5 belles tomates (ou pour les plus pressés, une boîte de tomates pelées).

    — 1 gros oignon

    — 3 à 4 gousses d'ail

    — 1 œuf

    — 1 sachet de parmesan râpé (j'utilise plutôt pour ma part du fromage de brebis râpé).

    — huile d'olive

    — sel, poivre

     

    Réalisation :

     

    — Ébouillanter 5 minutes les tomates après en avoir incisé la peau, et les peler en conservant le jus.

    — Chauffer l'huile d'olive dans une cocotte, y faire fondre l'oignon finement émincé et l'ail écrasé.

    — Rajouter les tomates et leur jus.

    — Couper les aubergines en tranches fines dans le sens de la longueur (personnellement, je préfère laisser la peau, mais on peut les peler), les rajouter à leur tour, saler et poivrer.

    — Couvrir et laisser mijoter dans la cocotte. Attention, pour que les aubergines deviennent bien fondantes, cela prend du temps ! On peut rajouter un peu d'eau ou de coulis de tomate en cours de cuisson si nécessaire.

    — Une fois qu'on a vérifié que les aubergines sont tendres, arrêter la cuisson et laisser tiédir. Cela donne alors ce résultat :

     

    Les recettes de l'orthorexique : gratin d'aubergines au parmesan

     

    — Dans un plat à gratin, disposer ensuite un peu de tomates et les tranches d'aubergines égouttées.

    — Battre l'œuf dans le reste de tomates et verser sur l'ensemble de la préparation.

    — Saupoudrer de parmesan et faire gratiner assez rapidement, de préférence au grill.

     

    C'est un plat léger et très savoureux, que j'ai servi avec une salade verte. Et en dessert, cela a été un clafoutis aux reines-claudes sans gluten et sans lactose que j'avais préparé hier.

    Selon ma formule habituelle, on s'est régalé, et ça a remplacé avantageusement le rôti du dimanche et le gâteau acheté chez le pâtissier... (Du moins, c'est ainsi que je m'imagine le traditionnel repas dominical.)

     

     

     

     

     


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