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D’ici la fin de la semaine, nous serons fixés sur le sort réservé à l’homéopathie. La Haute Autorité de Santé doit en effet rendre son avis définitif. Et vu qu’elle s’était déjà prononcée antérieurement sur le déremboursement, on voit mal comment, tout à coup, elle changerait de cap.
On peut supposer qu’on ne cessera pas de rembourser l’homéopathie du jour au lendemain : le gouvernement n’est en effet pas obligé de suivre cet avis qui n’est que consultatif (cela étant, il est plus que probable qu’il le suivra), et il y a des recours possibles notamment de la part des laboratoires comme Boiron (mais il est évident qu'ils ne feront pas le poids contre l'HAS).
Je crains donc que le sort de cette médecine douce ne soit « plié ». La ministre de la Santé a déjà expliqué qu’on ne pouvait faire payer à la collectivité des médicaments qui n’ont pas fait la preuve scientifique de leur efficacité (je suppose donc que tous les médicaments actuellement sur le marché ont fait la preuve de leur efficacité, sinon, je n’ose croire qu’on continuerait à les prescrire et les rembourser…)
À titre personnel, je ne décolère pas. Il y a derrière toute cette affaire une folle hypocrisie.
— Ainsi, si on parle de coût et de charge pour la collectivité, l’homéopathie représente approximativement 0,3% des dépenses de santé (on conçoit en effet que c’est très lourd pour la Sécurité Sociale qui bien sûr, ne jette jamais d’argent par les fenêtres, c’est bien connu).
— Les gens qui utilisent l'homéopathie coûtent environ 35% de moins que les autres en frais médicaux. Cela semble logique, car c’est une autre manière de se soigner, une autre démarche : moins de médicaments allopathiques « lourds » et souvent chers, moins de consultations médicales…
Donc en réalité et contrairement à ce qu’on nous fait croire, l’homéopathie permet de faire des économies.
— L’homéopathie n’est remboursée qu’à hauteur de 30%. Mon pharmacien m’a expliqué que sur chaque tube de granules, 50 centimes vont à la Sécu. Si les gens n’en achètent plus, on va apparemment faire perdre de l’argent à cette même Sécu ! (Je dis quand même cela sous réserve, n’ayant pas vérifié.)
— Par ailleurs, l’argument mis en avant pour le déremboursement est l’absence de preuves scientifiques de l’efficacité de l’homéopathie.
Mon pharmacien (toujours lui, nous devenons inséparables en ce moment…), m’a affirmé qu’il y avait en réalité des preuves scientifiques que l’on passe sous silence (et on écarte aussi toutes les études un tant soit peu favorables à l’homéopathie). Mais là, je ne me prononce pas, je n’ai rien d’une spécialiste.
Par contre, ce que je sais, c’est que l’homéopathie marche sur quantité de personnes. Parfois certes pour de petits bobos du quotidien (piqûres d’insectes, allergies, troubles ORL, maux de tête, etc.).
Mais parfois aussi pour des pathologies plus lourdes (je n’entre pas dans les détails mais ça a été mon cas, on comprendra donc que le sujet soit sensible pour moi).
Par ailleurs, comment expliquer que l’homéopathie puisse avoir des résultats sur des bébés ou sur des animaux si réellement, son seul effet est un « effet placebo » comme le dit la ministre.
Quoi qu’il en soit, il est probable que d’ici peu, l’homéopathie sera déremboursée.
Pourquoi donc cette décision ?
— On l’a vu, ce n’est pas pour réaliser des économies, il n’y en aura pas voire cela aggravera les coûts de santé.
— Ce n’est même pas pour une raison idéologique, parce qu’au gouvernement, on serait persuadé que l’homéopathie est potentiellement « dangereuse » (selon certains, elle empêcherait en effet les gens qui y ont recours de se tourner plus vite vers la médecine classique quand c’est nécessaire, retardant ainsi certaines prises en charge. L'argument est pour moi peu recevable : un vrai homéopathe n'hésite pas à avoir recours par exemple aux examens médicaux nécessaires).
Non, si les gouvernements se préoccupaient de notre santé, ça se saurait, et il n’y aurait pas eu une multitude de scandales liés aux médicaments.
Derrière tout cela, il n’y a qu’une volonté : nous enlever notre choix de nous soigner comme nous le souhaitons.
Si demain les gens ne peuvent plus avoir recours à l’homéopathie parce que ce sera devenu trop cher (selon mon indispensable pharmacien, les prix devenant libres augmenteraient inéluctablement : un tube de granules pourrait atteindre 5 euros contre 2 aujourd’hui), il ne leur restera qu’à se tourner vers les médicaments allopathiques (bien plus coûteux mais qui eux continueront bien sûr à être remboursés, quand bien même ils provoqueraient de multiples effets secondaires… voir les statines, au hasard).
Conséquence : tout le monde reviendra sagement dans le giron des gros groupes pharmaceutiques.
Parce que malheureusement, tout est là. Les liens entre le gouvernement (y compris l’Élysée) et le groupe Sanofi notamment ne sont plus à démontrer. Notre président de la République est d’ailleurs un proche (il ne s'en cache pas) du directeur de Sanofi, qui a participé au financement de sa campagne électorale de 2017.
Moi, j’appelle ça un « renvoi d’ascenseur »… Raison qui expliquerait aussi pourquoi, alors que l’on n’est pas capable d’interdire certains pesticides nocifs pour la santé, après l’élection d’Emmanuel Macron, il n’a fallu que deux mois pour imposer 11 vaccins obligatoires aux bébés.
Je ne prétends bien sûr pas que l’homéopathie peut TOUT soigner, ce n’est évidemment pas le cas. Je ne méconnais pas les progrès gigantesques de la médecine conventionnelle et si j’en avais besoin, il est évident que j’y ferais appel.
Cela étant, si heureusement on n’oblige personne à se soigner par homéopathie, on obligera bientôt tout le monde à se soigner comme le souhaitent nos gouvernants.
Or moi, je veux tout simplement continuer à avoir le choix.
Je suis néanmoins très pessimiste, je sais qu’on va vers ce déremboursement. J’ai bien sûr signé une des « grosses » pétitions qui circulent. Pour moi, c’était celle-ci :
https://www.monhomeomonchoix.fr/
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Je manque énormément de temps en ce moment, prise par la vie quotidienne, le travail et la mise en place de plusieurs projets qui me tiennent à cœur. Et quand justement j'arrive à dégager un peu de temps... je cuisine, évidemment.
Voici le dernier gâteau que j'ai fait. La dernière fois que j'avais réalisé cette recette, c'était l'année dernière mais la saison des abricots est revenue, je commence à en trouver de bons, donc j'ai eu envie de me (nous) faire plaisir.
Ingrédients :
— 600 grammes d'abricots
— 100 grammes de beurre végétal (sans huile de palme)
— 50 grammes de poudre d'amande
— 4 œufs
— 80 grammes de sucre de canne
— 100 grammes de farine de riz + 50 grammes de fécule bio
— 1 sachet de levure
Facultatif : deux ou trois poires
Pour le caramel :
— 80 grammes de sucre complet
— 4 cuillères à soupe d'eau
— quelques gouttes de jus de citron
Réalisation :
— Préchauffer le four thermostat 6 (180°)
— Laver les abricots, les couper en deux et les dénoyauter.
— Faire fondre à feu doux le beurre végétal.
— Séparer les blancs des jaunes d'œufs.
— Dans un saladier, fouetter les jaunes d'œufs et le sucre jusqu'à ce que le mélange blanchisse. Rajouter successivement le beurre végétal fondu, la poudre d'amande, la farine, la levure.
— Battre les blancs en neige et les incorporer délicatement.
— Préparer un caramel avec le sucre complet, l'eau et quelques gouttes de jus de citron. Attention, il faut le surveiller car cela déborde vite et les éclaboussures de caramel sont dangereuses.
— Sans attendre que le caramel fige, en tapisser le fond d'un moule rond.
— Disposer les demi-abricots côté bombé tourné vers le fond du moule.
— Rajouter dessus la préparation.
— Enfourner pour 40 à 45 minutes, vérifier la cuisson, remettre éventuellement une dizaine de minutes four éteint.
Quand le gâteau est cuit, le laisser refroidir. On le démoule ensuite en le retournant sur un plat (les abricots caramélisés sont donc sur le dessus).
On peut "casser" le goût un peu acidulé des abricots cuits en incorporant à la préparation deux ou trois poires coupées en cubes (c'est ce que j'avais fait pour ma part).
Et voilà un gâteau bien de saison, généreux et léger, dans lequel les différents goûts se marient à merveille !
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La tarte au citron, c'est comme pour la pâte brisée sucrée, il a fallu plusieurs essais pour que j'aboutisse à celle qui me convenait vraiment. C'était parfois trop acide, parfois pas assez crémeux, bref jamais à mon goût...
À force de tâtonnements, je suis finalement parvenue à LA recette que je trouve délicieuse.
Ingrédients :
— 1 pâte brisée sucrée (j'utilise celle dont j'ai déjà donné la recette ici : http://carnets-d-une-orthorexique.eklablog.com/pate-brisee-sucree-sans-gluten-et-sans-lactose-a161838222)
— le zeste d'un citron.
— 150 grammes de jus de citron (selon leur grosseur, ça correspond à deux ou trois fruits).
— 100 grammes de sucre de canne.
— 1 cuillère à soupe de fécule (type Maïzena, mais je préfère la fécule bio).
— 3 grammes d'agar-agar.
— 3 œufs entiers (ou 2 œufs entiers + deux jaunes si on veut ensuite couvrir la tarte de meringue).
— 75 grammes de beurre végétal (le choisir sans huile de palme).
Réalisation :
— Dans une casserole, délayer la fécule avec un peu de jus de citron.
— Verser le jus de citron restant. Rajouter le zeste, le sucre, l'agar-agar. Commencer à faire chauffer à feu doux.
— Battre les œufs et les rajouter dans la casserole.
— Toujours à feu doux, tourner avec une cuillère jusqu'à ce que le mélange épaississe.
— Hors du feu, intégrer le beurre végétal.
— Verser la crème au citron sur la pâte brisée.
Mon mari n'aime pas pour sa part la tarte au citron quand elle est meringuée, je la laisse donc ainsi.
Cela étant, on peut réaliser une meringue dite "à l'italienne" et passer ensuite la tarte quelques minutes au grill en surveillant bien.
Mais telle quelle, c'est déjà un délice !
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La « mode » du sans gluten s’est généralisée ces dernières années. Un signe qui ne trompe pas, c’est la multiplication des rayons ainsi estampillés dans les magasins, l’industrie de l’agro-alimentaire s’étant bien évidemment engouffrée dans cette brèche.
Quelques rappels :
Pour simplifier à l’extrême, on peut dire, même si c’est scientifiquement un abus de langage, que le gluten est une protéine du blé (mais on le trouve également dans l’orge, le seigle, l’avoine par exemple).
D’un point de vue strictement nutritionnel, le gluten ne sert absolument à rien. Autant on peut manquer de toute sorte de nutriments (vitamines, minéraux, omégas-3, etc.), autant on ne peut pas manquer de gluten.
Celui-ci ne présente un intérêt qu’au niveau gustatif et qualitatif des aliments. Il est ce qui leur donne le moelleux, l’élasticité, comme pour le pain. Il aide les pâtes à lever et à conserver leur forme (c’est ce qui fait qu’un pain sans gluten est beaucoup plus compact qu’un pain « normal », qu’on ne peut lui donner n'importe quel aspect).
Si le gluten n’a aucune utilité pour l’organisme, il peut provoquer par contre pas mal d’inconvénients. Ce n’est pas par hasard que l’origine de son nom est « glu ». Il produit en effet une sorte de colle dans nos intestins, et peut engendrer des désagréments, voire des maladies : troubles digestifs graves, lésions dans l’intestin grêle, ou mauvaise assimilation du fer, de la vitamine B ce qui entraîne des carences. On évoque aussi son rôle dans la fatigue, certaines pathologies inflammatoires, ou des troubles psychiques comme la dépression.
Alors aujourd’hui, qui mange sans gluten ?
— Certaines personnes, atteintes de la maladie dite « cœliaque », n’ont pas le choix : elles sont totalement intolérantes au gluten et ne peuvent pas en manger au risque de se mettre en danger.
— Il y a ensuite tous ceux qui souffrent d’une allergie voire d’une simple « sensibilité » : dans ces cas, la suppression du gluten entraîne le plus souvent une amélioration de l’état général.
— Enfin, un nombre croissant d’individus font le choix de manger sans gluten alors qu’apparemment, il n’y a pas de raison objective à cette éviction.
Je mange pour ma part sans gluten depuis plusieurs années. Au départ, j’ai arrêté parce que j’avais un problème de santé qui pouvait, selon mes informations, provenir d’une intolérance.
En réalité, mon souci n’avait rien à voir avec le gluten, comme je l’ai découvert un peu plus tard. Il n’empêche qu’à partir du moment où je n’en ai plus consommé, je suis allée globalement bien mieux. Quelle était la part de l’absence de gluten dans cette amélioration ? Car par la même occasion, j’avais aussi quasiment cessé de manger des produits laitiers animaux, des produits industriels, fait le choix du bio. Il est probable que c’est l’ensemble de ces éléments qui m'a permis d'être en meilleure forme. .
Alors évidemment, puisque j’allais mieux, que j’avais découvert par la même occasion une nouvelle façon de cuisiner (et des saveurs inédites), je n’avais pas de raison de revenir en arrière.
Je sais bien qu’un tel choix peut prêter à sourire. Les détracteurs de cette « mode » reprennent d’ailleurs souvent le même argument : l’homme mange du pain (c’est-à-dire du blé, donc du gluten) depuis 10 000 ans environ (début de l’agriculture et de l’élevage), et c’est seulement depuis quelques années qu’on a l’air de découvrir que ce ne serait pas bon pour nous.
Mais il s’agit là d’un faux argument.
— En effet, le blé que l’on consomme aujourd’hui n’a rien à voir avec celui produit jusqu’au 19ième siècle environ.
Car certes, le blé a toujours contenu du gluten. Seulement, à partir du début du 20ième siècle, pour flatter le goût des consommateurs, on s’est mis à croiser les plants afin qu’ils contiennent de plus en plus de gluten. Il s’agissait de fournir la farine qui offrirait un pain (mais aussi des gâteaux par exemple, ou des biscuits) le plus moelleux possible, des pâtes très élastiques, qui se travaillent facilement et fermentent rapidement.
C’est-à-dire que le blé que nous consommons aujourd’hui est d’une certaine manière un blé génétiquement modifié. On nous parle souvent des OGM, qui sont interdits en France pour la consommation humaine (autorisés cependant pour les animaux que nous mangeons ensuite !), mais on ne nous dit rien sur le blé qui est pourtant une des bases de notre alimentation.
Et tout cela pour des questions purement mercantiles (nous faire consommer davantage de ces nourritures rendues artificiellement agréables à notre palais).
— Par ailleurs, le gluten (sous une forme ou une autre) est rajouté dans tout, ce dont on se rend compte si on prend la peine de lire les étiquettes des aliments transformés que l’on achète. C’est un puissant liant, qui ne coûte pas cher, alors les industriels l’utilisent à tour de bras.
Donc, à l’argument consistant à dire que l’on mange du blé depuis 10 000 ans et que jusque-là, tout le monde s’en portait très bien jusqu’à ce que quelques illuminés décrètent une mode du sans gluten, je répondrai seulement ceci : n’est-ce pas parce que le blé est de facto génétiquement modifié et qu’on emploie massivement le gluten qu’il y a beaucoup plus de gens désormais à y être sensibles ? Être plus ou moins intolérant serait juste une réaction normale de nos organismes.
— Je précise par ailleurs un dernier point. Tout le monde sait-il d’où provient ce gluten dont l’industrie agro-alimentaire use à profusion ? Il est tout simplement le résultat d’un procédé comme cette industrie en a le secret, que l’on appelle « cracking ». Le cracking, c’est ça : on prend un grain de blé et on le fragmente. On obtient alors différents composants : germes de blé, son, fibres, sirop de glucose, amidon… et gluten. Chacun de ces composants est vendu séparément, et ils sont rajoutés ensuite dans les produits transformés ou les plats tout prêts. (On fait d’ailleurs de même avec la pomme de terre, le maïs ou le lait, par exemple). Et tous ces additifs servent au choix d’émulsifiants, d’épaississants, de liants…
Alors oui, il y a peut-être une mode du sans gluten, je ne le nie pas. Mais pour ma part, pour toutes les raisons que j’ai indiquées (modification génétique des plants de blé, procédé de « cracking », utilisation massive par l’industrie agro-alimentaire), quand bien même je n’aurais pas constaté une amélioration de ma santé… je continuerais à manger sans gluten.
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Faire le choix de cuisiner sans gluten ne présente pas de grosses difficultés. Il suffit de garder certains principes à l'esprit : toujours mélanger au moins deux farines, penser à préserver le moelleux des desserts en utilisant par exemple des fruits mixés ou des légumes en petits morceaux, etc.
Par contre, je reconnais qu'il y a deux ou trois aliments pour lesquels demeure un problème de consistance. Le pain notamment, qui est beaucoup plus compact qu'un pain traditionnel (cela étant, j'en trouve d'excellents dans les magasins bios).
Et les pâtes à tarte : ce n'est pas le goût qui n'est pas bon, au contraire, mais elles sont souvent friables, assez sèches.
J'ai testé pas mal de recettes... et pour la pâte brisée sucrée, j'ai enfin trouvé celle qui me convenait : elle est délicieuse, ne s'effrite pas, reste très tendre. C'est celle que j'ai désormais adoptée pour mes tartes sucrées (comme ici une tarte au citron : il me semblait que j'avais pris des photos de la pâte brisée seule... mais je ne les retrouve pas).
Ingrédients :
— 150 grammes de farine (mon mélange préféré : 75 grammes de farine de riz, 50 grammes de farine de châtaigne, 25 grammes de fécule).
— 2 cuillères à café de gomme de guar (c'est ce qui va contribuer à amalgamer la pâte, on en trouve dans les magasins bios).
— 50 grammes de poudre d'amande.
— 40 grammes de sucre glace.
— 1 œuf.
— 75 grammes de beurre végétal (de préférence sans huile de palme, j'en ai découvert un surtout à base d'huile de coco qui est parfait).
Réalisation :
— Mélanger dans un saladier la farine, la gomme de guar, la poudre d'amande et le sucre glace.
— Faire un puits et rajouter l'œuf puis le beurre végétal ramolli.
— Bien malaxer à la main.
— Faire une boule, entourer de film alimentaire, et laisser reposer une demi-heure au congélateur (ou plus longtemps au réfrigérateur).
— Préchauffer le four thermostat 5 (150°).
— Étaler la pâte sur un papier de cuisson à la dimension du moule choisi. (Pour éviter que la pâte ne colle au rouleau à pâtisserie, le mieux est d'envelopper ce dernier de film alimentaire).
— Laisser cuire 15 minutes plus 5 minutes four éteint.
Et je mets quiconque au défi de deviner qu'il s'agit qu'une pâte sans gluten.
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