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    Une des expressions qui revient le plus souvent dans ma bouche est : « Je suis à la bourre aujourd’hui ». Et « aujourd’hui » se produit quasiment tous les jours.

    Rien de très original à cela, je suppose que je suis comme toutes les femmes… Travailler, faire le ménage, les lessives, le repassage, les courses, ça prend du temps.

    Mais pas question pour autant de ne pas se mitonner un bon petit plat ou de ne pas préparer un dessert maison. En route donc pour le Net ! Parmi mes mots-clés favoris, il y a « recette rapide ». Et ça marche !

    J’ai donc découvert assez récemment une recette de biscuit au chocolat qui est une des préparations les plus rapides et les plus simples que je connaisse. J'ai juste un peu adapté les ingrédients pour que ce soit sans gluten et sans lactose. 

     

    Ingrédients :

     

    — 200 grammes de chocolat noir

    — 3 gros œufs

    — 120 grammes de sucre de canne

    — 60 grammes de farine de riz

    — ½ sachet de levure

    — Facultatif : un peu de crème d’amande (5 centilitres environ)

     

    Préparation :

     

    — Préchauffer le four à 180° (thermostat 6).

    — Faire fondre à feu doux dans une casserole le chocolat coupé en morceaux avec un peu d’eau. Laisser tiédir. Incorporer éventuellement la crème d’amande.

    — Dans un saladier, fouetter les œufs et le sucre.

    — Ajouter la farine et la levure (de préférence tamisées).

    — Incorporer en dernier le chocolat fondu dans la préparation et mélanger soigneusement.

    (Il m’arrive, quand j’en ai sous la main, de mettre quelques fruits rouges comme par exemple des framboises. Je pense que cela doit être bon aussi avec des pépites de chocolat.)

    — Verser le tout dans un moule préalablement huilé.

    — Enfourner 20 à 25 minutes (vérifier avec la pointe d’un couteau au bout de 20 minutes, attention, la cuisson est rapide).

     

    Le résultat est un biscuit très moelleux, dont le dessus forme une croûte de chocolat.

     

    Alors recette ultra-simple et rapide, certes, mais vraiment incontournable pour les cuisinières pressées !

     

    Je précise que la photo, tout à fait représentative de mon gâteau, a été piquée sur internet. Pour la simple et bonne raison que... j'étais à la bourre !!!

     

     

     

     

     

     


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    En fait, le titre exact de cet article devrait être « Je me fais avoir », ou « Je me suis fait avoir »… Mais comme je ne dois pas être la seule, je me permets de faire de mon exemple une généralité. Et de plus, comme je suis un peu vexée de ma naïveté, me dire que d’autres que moi sont sans doute bernés me rassure…

    J’achète de manière générale peu de produits transformés, mais je m’y trouve parfois obligée. De ce fait, je suis particulièrement vigilante sur les étiquettes, et dans les magasins, je lis les compositions avec des lunettes (c’est écrit en tout petit, forcément… Y aurait-il une intention malhonnête derrière ces caractères minuscules ? Je n’ose le croire…)

     

    Pour en arriver à mon sujet, je l’ai déjà dit, nous adorons le miel, même si nous en mangeons somme toute assez peu. Presque exclusivement, c’est pour arroser le pain perdu quand j’en fais en dessert, donc pas toutes les cinq minutes malgré tout.

    Mais j’en achète.

    Sauf que je n’apprécie pas plus que ça ceux que l’on trouve facilement par chez nous : le miel toutes fleurs ou de montagne est assez fade selon moi. Je sais que certains ne jurent que par le miel de lavande, mais ce n’est pas notre cas.

    Non, notre préféré et de loin, celui qui a un vrai goût, c’est le miel de maquis corse. En règle générale, lors de nos séjours dans l’île de Beauté, j’en ramène deux ou trois pots, ce qui nous suffit. Mais lors de notre dernier voyage, nous avons fait chou blanc auprès du petit récoltant chez qui nous nous fournissons. Là-bas aussi les conditions météo ont été mauvaises avec beaucoup de pluie, donc le miel de printemps avait pris du retard et il ne restait plus de miel d’automne.

    Du coup, j’ai cherché par ici. À défaut de miel de maquis, celui que nous préférons est le miel de châtaignier, éventuellement de sapin (il me semble avoir trouvé il y a longtemps du miel de bruyère, mais je ne suis pas sûre, et de toute manière, je ne sais plus où).

    Donc, me voici en quête de miel de châtaignier.

    Munie de mes lunettes, je me rends dans un magasin. Je fouine au rayon approprié et ô miracle, je crois tomber sur ce que je cherche. Un miel donc de châtaigner, avec le label bio. Je regarde de plus près : le nom du producteur est indiqué, mais aussi son lieu d’origine. Et là, super ! il s’agit d’un petit village à trente ou quarante kilomètres de chez nous.

    Donc tout va bien : ce n’est pas du miel de maquis, ni d’un récoltant que je connais personnellement, mais c’est ce qui se rapproche le plus de ce que je désirais.

    Je rentre donc chez moi satisfaite de mon achat.

    Un jour ou deux après, je prépare mon pain perdu, et là, c’est mon mari qui chausse ses lunettes. Il examine lui aussi l’étiquette (c’est moi qui lui ai donné cette manie). Et là, surprise !

    En encore plus petits caractères que le reste, noyé dans d’autres informations et difficilement lisible au milieu de la photo décorant le pot, il déchiffre :

    MÉLANGE DE MIELS ORIGINAIRES DE L’UE !!!

    Là, c’est la douche froide. Je vérifie, mais non, il ne s’est pas trompé. Mon miel est certes de châtaigner, il est certes bio, il est certes estampillé de ce petit village proche de chez nous (je suppose que c’est là qu’il a été mis en pot)… mais les miels, d’où viennent-ils ?

    Bien évidemment, je l’ignore. La réglementation n’oblige pas à indiquer la (ou les) provenance(s). Mon bon miel bio local vient-il de Pologne ? D’Allemagne ? D’Italie ? Une partie vient-elle quand même de France ?

    Impossible à savoir.

    Bref, je pensais avoir été prudente, et je l’ai été. Mais pas assez, de toute évidence.

     

    Alors, deux remarques :

    — D’une part, même quand on est vigilant comme je crois l’être, il est très facile de se faire avoir. Ce n’est pas avec des lunettes qu’il faut faire ses courses, mais avec une loupe. Et ce n’est pas une heure qu’il faut passer dans les magasins, mais au moins deux.

    — D’autre part, même dans le bio, la malhonnêteté est partout. Parce qu’on ne me dira pas que mettre en gros (enfin, aussi gros que cela peut l’être sur les étiquettes) le logo « AB » et les noms du récoltant et du village, et en minuscule ce qui m’aurait fait reposer le pot, ce n’est pas induire volontairement les clients en erreur.

     

    Conclusion ? Cet incident va me rendre encore plus vigilante, et en même temps, plus modeste aussi. Moi qui croyais à peu près tout bien faire, je suis comme les autres… je fais « au mieux ». Ce n’est déjà pas si mal, mais c’est loin d’être suffisant.

     

     

     


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    Le poisson à la provençale est une de mes recettes favorites. Je la fais régulièrement pour nous, mais aussi pour nos invités. C’est d’ailleurs le plat que j’ai servi samedi dernier quand nous avons reçu de la famille et ma foi, comme tout le monde s’est resservi, j’imagine qu’ils ont apprécié !

    Bizarrement, j’avais trouvé cette préparation dans un livre écrit par un médecin, ouvrage sur les bienfaits des antioxydants. Ce livre se terminait par une dizaine de recettes, bourrées évidemment de ces précieux éléments, dont celle du poisson à la provençale.

     

    Ingrédients : (pour 4)

     

    — 150 à 200 grammes de poisson par personne. (La recette initiale indiquait de prendre du thon. Outre que je n’aime pas trop manipuler ce poisson, les thons sont par ailleurs comme déjà dit bourrés de métaux lourds. J’utilise donc en général tout simplement du cabillaud. Le dos de cabillaud notamment a une assez bonne tenue à la cuisson.)

    — 4 à 5 belles tomates (ou si on n’est pas en pleine saison, ou si on est pressé, une boîte de tomates pelées).

    — 1 poivron (jaune de préférence, il contient davantage d’antioxydants).

    — Environ 100 grammes d’olives noires dénoyautées.

    — 1 oignon.

    — 2 à 4 gousses d’ail (selon son goût).

    — Huile d’olive.

    — Thym, laurier, sel, poivre.

     

    Réalisation :

     

    — Dans une cocotte, faire chauffer de l’huile d’olive et blondir oignon émincé et poivron coupé en morceaux (personnellement, si j’aime beaucoup le poivron dans un plat, je n’aime en revanche pas la peau une fois qu’elle a cuit, on dirait du papier. Je l’enlève donc avec un rasoir à légumes, même si c’est un peu de travail).

    — Rajouter les tomates pelées et l’ail écrasé.

    — Porter à ébullition.

    — Incorporer les olives noires en rondelles, le thym et le laurier. Saler et poivrer. Laisser mijoter environ quinze minutes à feu doux.

    — Faire revenir le poisson dans de l’huile d’olive.

    — Le rajouter à la sauce, sans oublier son jus, et faire cuire encore cinq à dix minutes.

    Évidemment, le plus simple est de servir ce plat avec du riz.

     

    C’est délicieux, assez relevé sans être trop fort, bourré donc d’antioxydants… et validé par un médecin ! Que demander de plus ? Le succès auprès des invités ? C’est fait aussi… Rien à rajouter. Juste se régaler !

     

     


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  • Les recettes de l'orthorexique : sardines à la sicilienne

     

     

    J’ai dit précédemment tout le bien que je pense des « petits poissons des mers froides » (sardines, maquereaux, harengs…) Je prépare d'ailleurs assez régulièrement des filets de maquereaux frais ; par contre, je n’avais jamais rien testé avec des sardines fraîches (pour tout dire, je n’avais même jamais mangé de sardines fraîches !) J’ai donc résolu de combler cette lacune, et forte de cette décision, après m’être fait certifier par mon mari qu’il se chargerait de les vider (j’avoue que même si je mange du poisson, je ne me sens pas trop d’accomplir cette opération), j’ai donc acheté des sardines fraîches (je ne me rappelle plus le poids, une vingtaine environ, ou un peu plus, pas très grosses).

    De retour à la maison… il fallait en faire quelque chose. Les griller, je ne voulais pas, l’odeur est apparemment disons… puissante. Je me suis donc rendue sur mon moteur de recherche favori et j’ai fouiné (il aurait peut-être été plus logique de décider d’abord d’une recette et d’acheter les sardines et tout le nécessaire ensuite, mais c’est ainsi).

    Il est revenu à plusieurs reprises, au cours de ma prospection, une recette « à la sicilienne », qui semblait un peu étrange (on mettait entre autres des raisins secs, bizarre avec un poisson plutôt fort), mais les commentaires étant élogieux, j’ai jeté mon dévolu sur cette préparation. En fait, j’ai trouvé plusieurs versions de la recette, et comme toujours, j’ai fait un « mix » entre elles.

    Mon mari était très sceptique, moi un peu aussi, mais j’aime tester des goûts nouveaux. Comme j’avais tous les ingrédients sous la main ou presque, je me suis lancée… et le résultat a été savoureux ! Dommage seulement que je n’aie pas eu davantage de sardines. Vu que le plat est un peu long à faire, on aurait eu plus à manger et ça nous aurait fait davantage de repas.

    Mais après tout, c’était un essai… qui a été transformé.

     

    Ingrédients :

     

    (Les quantités sont pour, je pense, une trentaine de sardines pas trop grosses.)

    — Sardines fraîches (À mon avis, pour des appétits moyens comme les nôtres, il faut environ sept ou huit petites sardines par personne, ou cinq moyennes. Davantage pour les gros mangeurs, au moins une dizaine).

    — 1 gousse d’ail haché.

    — 2 cuillères à soupe de chapelure ou une tranche de pain de mie (sans gluten dans mon cas).

    — 2 à 3 cuillères à soupe de raisins secs.

    — 3 cuillères à soupe de câpres.

    — Une poignée de pignons (c’est apparemment facultatif, d’autant que c’est cher, mais il se trouve que j’en avais).

    — Éventuellement, quelques brins de persil.

    — Huile d’olive, sel, poivre.

     

    Réalisation :

     

    — Commencer donc par vider les sardines, enlever l’arête centrale, puis les laver. (Si on trouve chez le poissonnier des filets, je crois que c’est tout bénéfice !) Les écailler si besoin (c’est inutile pour les petites).

    — Mettre les raisins secs à gonfler dans de l’eau chaude.

    — Faire griller à sec, dans une poêle, les pignons.

    — Hacher les raisins secs, les câpres et les pignons.

    — Faire blondir dans un peu d’huile d’olive l’ail haché. Rajouter de l’huile (environ trois cuillères à soupe) et faire frire la chapelure ou le pain de mie émietté.

    — Transvaser le mélange ail et chapelure (ou pain de mie) dans un bol, puis incorporer les raisins secs, les câpres et les pignons hachés. On peut mettre en plus du persil ciselé.

    — Saler, poivrer, et bien mélanger.

    — Farcir les sardines. Apparemment, il y a plusieurs méthodes, mais si les sardines ne sont pas trop grosses, il me semble que le mieux est de disposer de la farce sur le filet ouvert, et de le rouler ensuite dans le sens de la largeur. On fait tenir le tout par un cure-dents. Outre le fait que ça me paraît plus facile que de les farcir dans le sens de la longueur, cela donne une jolie présentation, tous ces petits rouleaux côte à côte.

    — Disposer les sardines dans un plat huilé.

    — S’il reste de la farce, l’éparpiller par-dessus, arroser d’huile d’olive, et mettre au four thermostat 6-7 (180 à 200°) pendant environ une demi-heure.

     

    Et voilà, c’était l’aventure des sardines à la sicilienne ! Une aventure où tout est bien qui finit bien…

    Mon mari m’a avoué ensuite qu’il avait eu de gros doutes concernant cette recette. Mais vu le boulot occasionné, il avait décidé de me dire que c’était bon, sans trop insister cependant pour ne pas que je réitère l’expérience. Et là, il aimerait bien savoir quand je referai ce plat…

     

     

     


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    Il y a donc des aliments que j’ai bannis pour des raisons de santé et/ou d’éthique, les deux allant d'ailleurs souvent de pair (la viande, le gluten, les produits laitiers animaux, l’huile de palme, le sucre raffiné…)

    Mais inversement, pour d’autres, je suis si convaincue de leurs bienfaits que je les consomme sans modération. J’en cite ici quelques-uns :

     

    Les omégas-3

    Notre alimentation moderne fait que nous manquons cruellement de ces derniers. On nous a poussés à augmenter nos quantités d’omégas-6 (pour des questions d’ordre commercial ? Non, je n’ose pas le croire !) que l’on trouve par exemple dans l’huile d’olive, mais il y a un vrai déficit en omégas-3. Pourtant, ceux-ci sont bons pour tout : le cœur, le cerveau, les articulations.

    Du coup, j’essaie de privilégier les aliments qui en contiennent. Parmi eux, il y a les poissons gras des mers froides (sardines, saumons, maquereaux, harengs…) Le saumon est néanmoins à éviter car soit il est d’élevage (même en bio), soit il est bourré de métaux lourds, soit les deux. D’une manière générale, les gros poissons en bout de chaîne alimentaire (c’est le cas aussi du thon) « ramassent » toute la pollution des mers ou des rivières, mieux vaut s’en passer.

    Ne nous faisons pas d’illusions cependant. Les océans étant devenus de gigantesques dépotoirs, tous les poissons que nous mangeons sont contaminés. Mais autant fuir ceux qui le sont le plus, donc les carnivores, et préférer les plus petits. Personnellement, j’aime beaucoup les maquereaux (frais bien sûr, il existe des recettes succulentes), et récemment, j’ai acheté des sardines (fraîches là encore) et je vais les tester « à la sicilienne »…

    Il y a aussi des omégas-3 dans les graines de lin (ça tombe bien, j’adore) : on peut les rajouter à une compote maison, ou les grignoter telles quelles. On m’a dit aussi qu’on pouvait les faire gonfler dans de l’eau que l’on boit ensuite. Elles possèdent autant de vertus que les graines de chia, même si elles sont moins « médiatiques »… et du coup moins chères.

    Penser aussi à l’huile de colza (à condition qu’elle soit bio et extraite par pression à froid, sinon elle est obtenue par des traitements chimiques). Mélangée à l’huile d’olive, elle assure le bon rapport omégas-3 / omégas-6 (certes indispensables également, mais à petites doses).

     

    Le brocoli

    Voici un autre « super-aliment ». Déjà, c’est un délice. De plus, il est bourré de minéraux comme le potassium, de vitamines comme la B9, d’antioxydants et de fibres. Il est bon pour le cœur, pour faire baisser le cholestérol (encore qu’il y aurait beaucoup à dire là-dessus, le cholestérol étant indispensable à nos cellules : certains médecins contestent de plus en plus la volonté affichée par la plupart de leurs confrères de faire baisser drastiquement nos taux de cholestérol, mais c’est un autre sujet). Et puis, par expérience, je ne connais pas grand-chose de mieux pour les problèmes digestifs. Mon mari a souffert longtemps de l’estomac, les médicaments étaient de peu d’efficacité (sans compter qu’ils ont pas mal d’effets secondaires indésirables), et son médecin avait même programmé une fibroscopie. On a fait une cure de brocolis… et plus de fibroscopie ! Ce légume aurait même fait ses preuves chez les gens souffrant d’un ulcère provoqué par la redoutable hélicobacter pylori.

     

    — Dans le même ordre d’idée, on peut penser au radis noir, même s’il n’est pas très « joli ». Il a un petit goût piquant qui rehausse très bien les salades quand on l’utilise cru et râpé. Lui aussi est bon pour les problèmes digestifs et notamment le foie.

    Quelqu’un m’avait indiqué qu’on pouvait l’utiliser dans les cas de maux de gorge : on le pèle et le découpe en rondelles, puis on le couvre de sucre (de canne bio), et on le met plusieurs heures au réfrigérateur. Il en sort un jus que l’on boit et qui adoucit la gorge. Je n’ai pas testé… car je n’ai pas eu de maux de gorge depuis qu’on m’a donné cette recette ! Mais je conserve l’astuce en cas de besoin.

     

     

    L’huile de coco

    Encore un aliment qui marche pour tout. Déjà, cette huile est délicieuse en cuisine, pour peu que l’on accepte de sortir des goûts standards. En pâtisserie, c’est tout simplement un régal. On peut s’en servir par exemple pour faire revenir des légumes, ou des tranches de pain perdu. Et pour ceux que le goût rebute, on trouve dans certains magasins bio de l’huile de coco sans odeur (résultat obtenu hors traitement chimique).

    L’huile de coco est bonne pour la peau, les cheveux, les dents (en bain de bouche)… mais aussi le cœur et le cerveau ! On a ainsi constaté des améliorations spectaculaires des fonctions cognitives chez les personnes consommant quotidiennement cette huile (mettons la valeur d’une cuillère à soupe). Seul inconvénient, je reconnais qu’elle est un peu chère…

     

    — Et puis, je n’oublie bien sûr pas les légumineuses, excellentes pour la santé (minéraux, protéines…) pour peu qu’on prenne le temps de les cuisiner (surtout ne pas les acheter en boîte, c'est infect !).

     

    C’est là un simple petit échantillon bien sûr de mes aliments fétiches, mais quand je les consomme, j’ai la double satisfaction de savoir qu’ils sont à la fois bons au goût et bons pour la santé ! D’ailleurs, brocoli en salade (avec un peu de pommes de terre et de betterave) et pain perdu, c’était notre menu de ce midi. Et on s’est régalé !

     

     

     


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